Lesprit cherche et c'est le coeur qui trouve. Passez en mode sombre, plus agréable pour vos yeux la nuit. Passez au mode de lumiÚre qui est plus agréable pour vos yeux pendant la journée.
Photo by Cole Patrick on UnsplashGeorges SandEt vient le jour oĂč tu n’as plus rĂȘvĂ© de lui. Tu ne te rĂ©veilles pas encore avec le sourire non, de toute façon ça n’a jamais Ă©tĂ© ton genre, mais tu ne pleures plus sur ton oreiller, juste aprĂšs avoir ouvert l’ petite victoire est bonne Ă  as compris qu’en reprenant l’habitude de lire ou de mĂ©diter avant de t’endormir, tu Ă©vitais que tes derniĂšres pensĂ©es soient tournĂ©es vers lui et ainsi de prolonger la douleur jusque dans tes songes. Enfin tu crois que ça marche comme ça mais dans le fond, t’en sais rien. Tu es peut-ĂȘtre simplement traumatisĂ©e, et ton inconscient rejoue la scĂšne encore et encore, un peu comme une purge. Remercie-le, il finit le boulot pour t’en fais pas, ça n’as toujours pas retrouvĂ© l’énergie pour te remettre Ă  travailler pour de vrai. Mais tu comprends au moins dĂ©sormais le concept de prendre soin de toi. Rappelle-toi, il n’y a pas si longtemps comme tu levais les yeux au ciel en entendant cette injonction que tu trouvais si vide de les clopes enchaĂźnĂ©es, tu sais trĂšs bien que tu ne dupes que toi en te disant que les Vogue Menthol te font moins de mal que d’autres. Tu retournes nager presque tous les jours et tu en ressors Ă  chaque fois avec une envie de vivre, vivre, ressens de la joie, oui voilĂ . Et c’est sans doute un des sentiments les plus agrĂ©ables qui soit, tu avais oubliĂ© ce que ça danses toute seule chez toi, tu Ă©coutes enfin autre chose que ton Ă©lectro planante et mĂ©lancolique. Tu fais des rencontres, tu te demandes si c’est bien, si c’est le bon moment, et puis encore une fois, tu te dis que tu vis, simplement et que tu ne fais de mal Ă  comprends que courir et t’agiter en permanence ne sert Ă  rien et t’empĂȘche mĂȘme concrĂštement d’ as envie d’aller de l’avant, mais tout doucement. D’ĂȘtre Ă  nouveau aux manettes de ta vie, un peu chaque jour, en Ă©coutant pour une fois tes besoins et pas seulement tes as envie de cultiver cette vertu dont tu es relativement dĂ©pourvue la patience. Tu sais que tu dois ronger ton frein et que cela va te demander un effort. Certains sont nĂ©s avec, pas toi mais tu l’apprĂ©cieras encore plus quand tu l’auras sais que t’en rĂȘves toujours de cette famille, que ça te crĂšve le coeur quand tu vois tous ces gosses. Tu pensais la construire avec lui mais ça ne s’est pas passĂ© comme tu l’espĂ©rais. Ça se passe rarement comme on s’y attend dans la vie et peut-ĂȘtre que tu attendais trop, tu es lucide, tu n’as pas de garantie, cela arrivera ou peut-ĂȘtre pas et tout ce que tu peux faire c’est poser des bases solides. ApprĂ©cier ta compagnie et te rendre compte qu’aujourd’hui, mĂȘme si tu as perdu ton amour, tu as dĂ©jĂ  as mĂȘme gagnĂ© au change. Tu n’es plus avec quelqu’un qui n’avait pas envie d’ĂȘtre lĂ . Tu dĂ©couvres tant de choses ces temps-ci. Tu n’es dĂ©jĂ  plus dans le mĂȘme esprit que lorsque tu as Ă©cris ici pour la derniĂšre bien sĂ»r, il y a encore de la colĂšre en toi, ton ego te murmure toujours que c’est vraiment triste et moche ce qu’il t’a fait et te pousse mĂȘme parfois Ă  croire que le meilleur est derriĂšre pour la premiĂšre fois, tu arrives Ă  l’envoyer bouler, ton ego. Alors au dĂ©but, c’était plutĂŽt un timide, “mais euh monsieur laissez-moi tranquille s’il vous plaĂźt” et puis ces derniers jours ça s’est parfois transformĂ© en “ferme-la, tu mens”. Tu sais que tu es plus que ton ego, tu cherches maintenant Ă  accĂ©der Ă  ton essence, n’ayons pas peur des mots, tu vois trĂšs bien ce que je veux pas besoin de te dire que t’es pas une victime n’est-ce pas ? Tu le sais trĂšs bien va, arrĂȘte ton comprends qu’il y a une diffĂ©rence entre te respecter, c’est Ă  dire ne plus vouloir revenir vers ce qui te fera Ă©videmment souffrir, et puis voir tout en noir, charger la mule et ressasser voire inventer de toutes piĂšces des choses dont tu n’as pas la moindre as aussi dĂ©couvert un truc puissant tu n’es pas n’es pas non plus si spĂ©ciale. Enfin si, mais elle, lui et tous les autres aussi. Du coup, tu te sens partie d’un tout. Chaque larme que tu verses a dĂ©jĂ  coulĂ© sur une autre joue, laisse-la vivre sa vie, quand elle en aura fini avec toi, elle ira soulager celui ou celle qui en aura alors la petite fille unique, tu ne serais donc pas si unique. Cette pensĂ©e te fait voir le monde d’une toute autre maniĂšre et te permet de sortir de ta n’es pas dans sa tĂȘte, tu comprends ENFIN que dans la vie on n’a pas toujours les rĂ©ponses qu’on attend. Que parfois, ce sont mĂȘmes les premiers intĂ©ressĂ©s qui n’en ont sincĂšrement pas pour expliquer leurs motivations. Tu te dis qu’en attendant tu peux dĂ©jĂ  essayer de te comprendre toi. La tĂąche s’avĂšre ardue mais pas impossible et surtout plus intĂ©ressante en termes de te retournes et tu vois clairement le chemin parcouru, ton Ă©volution ces derniĂšres annĂ©es. Tu es excitĂ©e par la suite. Tu sais que le chemin ne s’arrĂȘte jamais, toi qui voulais passer ta vie Ă  marcher, tu vas en avoir pour ton t’aperçois que pour la premiĂšre fois, tu n’es plus un juge impitoyable mais que tu t’observes, sans plus t’analyser. Serais-tu devenue pragmatique? C’est assez nouveau pour pensais vivre dans un monde en noir et blanc et voilĂ  que tu dĂ©couvres le gris t’interdit tout jugement dĂ©finitif. Le gris est une poupĂ©e russe. À chaque fois que tu crois pouvoir le dĂ©finir, tu dĂ©couvres un truc cachĂ© ou une nouvelle perspective. Tu ne sais jamais Ă  qui tu as affaire et tu acceptes que ton voisin voit du gris foncĂ© quand tu vois du gris apprends Ă  ĂȘtre plus sĂ»re de toi, dans l’incertitude. Tu ne veux plus t’en remettre aux avis de tes proches car tu sais Ă  prĂ©sent que tu as le droit de te tromper. Tu t’es dĂ©jĂ  trompĂ©e tellement de fois et tu es ici aujourd’hui. Lui aussi il s’est trompĂ©, peut-ĂȘtre qu’il se trompe encore, mais c’est son chemin et toi tu dois parcourir le sais que la seule chose que tu peux regretter dans votre histoire, c’est ton Ă©gocentrisme. Et mĂȘme en le reconnaissant, tu ne te dis plus que ça fait de toi une mauvaise dĂ©but, ça t’aidait de te dire que tu avais Ă©tĂ© irrĂ©prochable, et que tu lui avais tellement puis, tu as ouvert les yeux et tu sais aujourd’hui que l’important n’est pas de donner tout court mais de donner ce dont l’autre a besoin. Et puis d’en garder un peu pour soi t’es obstinĂ©e Ă  vouloir l’aider mais selon tes propres critĂšres de bien-ĂȘtre et de rĂ©ussite. En trois ans, t’es-tu remise en question? As-tu essayĂ© autre chose quand tu voyais que ça ne marchait dĂ©finitivement pas ?Non, car tu voulais lui faire voir la vie avec tes si c’était toi qui avais la rĂ©ponse qu’est ce qu’une bonne vie ?Tu ne pourras jamais le savoir que pour toi, selon ta perspective. L’attitude la plus sincĂšre et la plus aimante aurait Ă©tĂ© de lui dire, que tu l’aimais mais que tu ne pouvais pas l’aider. Or, t’avouer inutile, c’était trop pour ton ego. Tu Ă©tais la battante du couple, son roc, bien-sĂ»r que tu avais le DEVOIR de le sortir de son mal-ĂȘtre et bien-sĂ»r qu’il serait heureux GRACE Ă  comment tu existerais si tu ne te rendais pas indispensable ?Ça n’a pas marchĂ©, tu m’ t’aimait, tu l’aimais, vous vous ĂȘtes aimĂ©s comme des oufs, ça va je sais. Mais il avait son passĂ©, sa façon de fonctionner, son temps de rĂ©action, ses schĂ©mas, ses entraves et cette angoisse que jamais tu ne pourras sentir ni comprendre car encore une fois, tu n’es pas partir, vraiment, pour de comprends, enfin, que tu ne peux pas sauver les gens. Que la plupart du temps mĂȘme, on ne te demande rien. Tu sais dĂ©sormais que tu peux ĂȘtre lĂ , Ă©couter, conseiller ou te taire Ă©galement, si c’est ce dont l’Autre a besoin. Et que ce qui compte c’est d’avoir l’humilitĂ© et la sincĂ©ritĂ© de parfois savoir dire, je ne sais pas, je ne peux pas, je suis lĂ  et c’est tout ce que j’ai Ă  t’ lui tu n’as pas su. Tu l’as sĂ»rement blessĂ©. Il se sera parfois senti trĂšs seul avec toi, tu acceptes cela. Parce que c’est la rĂ©alitĂ©, mĂȘme si elle fait mal au bide, c’est ce qui aimerais lui dire que ça y est, tu as tout compris mais tu sais que premiĂšrement, tu n’as pas vraiment TOUT compris et surtout que vos routes se sont sĂ©parĂ©es. Tu ne peux pas réécrire l’histoire et tu ne dois pas ENCORE prendre soin de lui en lui ĂŽtant toute ne lui souhaites pas de mal, mais pour parler vulgairement, chacun sa merde. Tu peux simplement apprĂ©cier ces prises de conscience, et garder cette affection que tu as toujours pour lui en toi, qui sait peut-ĂȘtre un jour pourras-tu Ă  nouveau l’ sais que parfois, une force t’agrippe par le col et te tire vers l’arriĂšre. Tu oublies que tu dois rĂ©sister et tu te laisses reculer de quelques encore mal je sais, mais la douleur est un peu moins intense et se fait plus pas, c’est normal tout ces va-et-vient accepte, puis reste alerte, mobilise tes forces mais sois dans l’ouverture. Flexible mais bien sais que tous les jours, tu joues dans le meilleur film que t’aies jamais t’emmerderas jamais, la vie est tellement comme disait Einstein La folie est de toujours se comporter de la mĂȘme maniĂšre, et de s’attendre Ă  un rĂ©sultat continue, expĂ©rimente, crois, persĂ©vĂšre, plante-toi, avance, recule mais essaie toujours d’ĂȘtre sincĂšre, c’est tellement plus fluide quand tu vas Ă  l’essentiel.

Théùtre: 'L'esprit cherche et c'est le cƓur qui trouve' MusĂ©e de la Vie Romantique - HĂŽtel Scheffer-Renan Paris (75) Ce qu'il faut savoir : **Théùtre | L' Esprit cherche et c'est le coeur

Le jour de St Valentin j’ai expliquĂ© l’étymologie du caractĂšre chinois 愛 amour» sur ce blog et l’ai partagĂ© avec l’ami Philippe, ensuite Philippe m’a Ă©crit une lettre en parlant d’une visite de ses amies Anne Françoise et Marc, d’oĂč nous avons dĂ©couvert la vie passionnante et touchante du dernier missionnaire occidental en Chine, Anatole Ghestin Ting Ming-Cheng en Chinois,
 Voici notre dialogue  Phillippe Merci pour ton article sur le coeur, il est intĂ©ressant tout comme les documents que tu joins.... La langue chinoise est Ă  la fois si belle et tellement complexe !!! J'ai reçu ton message alors que je voulais te poser une question concernant justement la langue chinoise.... J'ai des amis qui sont venus ce week end et au hasard d'une conversation, elle m'a appris qu'un des lointains oncle de sa grand mĂšre avait vĂ©cu en Chine. En fait, il a fait plus qu'vivre. Je te donne l'extrait qu'on a trouvĂ© le concernant .... Nous sommes en 1907 ; Anatole Ghestin a trente-quatre ans. Cet homme, nĂ© Ă  Haubourdin prĂšs de Lille, quitte sa famille et la France pour toujours. JĂ©suite, il part rejoindre sa mission en Chine. Pendant cinquante-trois ans, il dĂ©crit Ă  sa famille avec talent, poĂ©sie, mais aussi avec rĂ©alisme, sa vie et celle de ce peuple chinois qu’il aime tant. MalgrĂ© la misĂšre, la chaleur insupportable, le froid intense, les guerres, les inondations, le pĂšre Ghestin, devenu le pĂšre Ting, sillonne ses paroisses Ă  bicyclette. À un Ăąge avancĂ©, il affronte les intempĂ©ries, mais aussi les dangers d’un pays en guerre permanente, forçant l’admiration de la population qui le protĂšge Ă  maintes reprises. Il meurt Ă  la mission de Tchang-kia-Tchoang en 1961, veillĂ© par Mgr Tchao, Ă©vĂȘque de Sienhsien. Il fut le dernier missionnaire occidental, et le seul autorisĂ© Ă  demeurer sur place sous le rĂ©gime communiste. Écrites au jour le jour sans autre intention que d’informer sa famille lointaine, ces lettres qui tĂ©moignent d’une foi Ă  dĂ©placer les montagnes » sont aussi des documents exceptionnels sur la Chine de la premiĂšre moitiĂ© de ce siĂšcle. Voila, cet homme qui Ă©tait rentrĂ© dans l'ordre des jĂ©suites Ă  fait l'objet d'un livre, qu'on trouve encore et dont le titre est DĂ©sormais, je m'appelle Ting Ming-Cheng. Mon amie se demande ce que cela veut dire ..... J'ai cherchĂ© et j'ai trouvĂ© ceci ćŹć‘œç§°. Celui qui obĂ©it aux ordres, autrement dit Celui qui suit les preceptes de la rĂ©ligion .... Bon, si tout cela est faux, je demande ton indulgence .... et si preneur de toute information ... Yu Merci pour cette information, c’est trĂšs touchant! Voici les senses de trois caractĂšres de son nom 䞁Ting un nom de famille 鞣Ming le cri des oiseaux; sonner, resonner, 盛Cheng grand, flourish Par contre ton interprĂ©tation son nom ćŹć‘œç§° est trĂšs intĂ©ressante! Elle prononce bien comme 侁龣盛, et surtout ça corresponds bien la vie de cet homme. A partir de cela, on pourrait voir quelle imagination peut donner par des caractĂšres chinois, ... AprĂšs la conversation avec Phillippe, j’ai recherchĂ© sur l’internet certaines documents Ă  propos de ce sujet et les ai transmis Ă  Anne-Françoise. Anne-Françoise Je vous remercie Philippe et toi de vos recherches concernant mon aĂŻeul devenu prĂȘtre en Chine ! Il est parti de sa famille lilloise le 8 octobre 1907 pour arriver Ă  Shanghai le 14 novembre 1907 pour atteindre la mission de TIEN TSIN XIAN XIAN autrefois SHIEN SHIEN le 23 novembre !!! Dans le livre de famille ont Ă©tĂ© rééditĂ©es toutes les lettres journaliĂšres que cet aĂŻeul a Ă©crit Ă  sa famille jusqu'Ă  sa mort le 28 janvier 1961!!! Ce livre, je l’ai en français et donc ai dĂ©couvert une partie de ma gĂ©nĂ©alogie, mais aussi toute la vie en Chine Ă  cette Ă©poque ! PASSIONNANT Anatole Ghestin est un oncle de ma grand mĂšre maternelle. Un grand merci pour la vidĂ©o que tu as trouvĂ©, cette française est l Ă©pouse d’un cousin germain de ma maman , ils sont allĂ©s sur les traces de cet aieul, il y a environ 20-25 ans!!! RĂ©fĂ©rence [1] ćœšäž­ć›œçš„æœ€ćŽäž€ćäŒ æ•™ćŁ«ïŒă€Šä»Žä»Šä»„ćŽæˆ‘ć«â€œäžâ€ă€‹, l’article que j’ai Ă©crit dans mon blog chinois pour prĂ©senter Anatole Ghestin

Lesprit cherche et c’est le coeur qui trouve. — Đ„ĐŸŃ‚ŃŒ Ń€Đ°Đ·ŃƒĐŒ ОщДт, Đ»ĐžŃˆŃŒ сДрЎцД ĐœĐ°Ń…ĐŸĐŽĐžŃ‚.

Les hommes veulent bien qu’on rit de leur esprit, mais non de leur sottise. Dans tous les partis, plus un homme a d’esprit, moins il est de son parti. Les esprits supĂ©rieurs comprennent toujours difficilement qu’ils soulĂšvent des fureurs en faisant ressortir les stupiditĂ©s de gens relativement bornĂ©s. Lorsque l’esprit est libre, le corps est dĂ©licat. Le chagrin, Ă  certaine dose, prouve beaucoup d’affection – mais Ă  trop forte dose, il prouve toujours quelque faiblesse d’esprit. L’esprit cherche et c’est le coeur qui trouve. Quand on veut faire de l’esprit, il arrive que l’on mente un peu. L’illumination n’est que la vision soudaine, par l’Esprit, d’une route lentement prĂ©parĂ©e. C’est l’esprit qui mĂšne le monde et non l’intelligence. Il en est de la pointe de l’esprit comme d’un crayon, il faut recommencer Ă  le tailler sans cesse.

GeorgeSand : « L’esprit cherche et c’est le cƓur qui trouve » Figure fĂ©minine marquante de la littĂ©rature française du 19e siĂšcle, George Sand est l’auteure de « Consuelo » et « Indiana ». « Je pleure une morte, je salue une immortelle ! », C’est en 1999, que Nicolas Alberty, diplĂŽmĂ© de l’école hĂŽteliĂšre de Namur et qui acquis son expĂ©rience dans de grandes maisons, comme celle de Georges Blanc Ă  Vonnas arrive aux fourneaux suite au dĂ©cĂšs brutal de Michel Bernard. Il perpĂ©tue ainsi un art culinaire qui Ă©voluera avec le temps pour sensibiliser au fur et Ă  mesure les clients fidĂšles pour une cuisine raffinĂ©e. Pour ce faire, il fĂ»t brillamment secondĂ© par sa future Ă©pouse Emmanuelle Bernard, la fille de la maison
. Quel filou
. En 2001, ils reprennent l’établissement familiale et entendent y dĂ©velopper un style qui leur est propre en apposant leur empreinte. En Juillet 2007, ils crĂ©ent au cƓur du mĂȘme village, Le Barathym, une auberge convivial proposant une cuisine simple et goĂ»teuse
. Une cuisine pour Nicolas Alberty, commence chez le producteur. Une fois le produit de qualitĂ© choisi, la magie peut opĂ©rer. Bienvenue chez eux pour cultiver le plaisir de l’instant ! Lesprit cherche et c’est le coeur qui trouve Caroline V. Follow Jun 24, 2018·7min read (Georges Sand) Etvient le jour oĂč tu n’as plus rĂȘvĂ© de lui. Tu ne te rĂ©veilles pas encore "Ne pas alourdir ses pensĂ©es du poids de ses souliers." AndrĂ© Breton "Ne demande jamais ton chemin Ă  celui qui sait. Tu pourrais ne pas te perdre !" [Simone Bernard-DuprĂ©] "Le Temps n'a d'autre fonction que de se consumer il brĂ»le sans laisser de cendres." Elsa Triolet "Tu dois vivre dans le prĂ©sent, te lancer au-devant de chaque vague, trouver ton Ă©ternitĂ© Ă  chaque instant." [Henry David Thoreau] Ecrire, c'est arrĂȘter des parcelles d'instants pour les donner. Ecrire c'est dĂ©jĂ  un peu arrĂȘter le temps. » Claude PĂ©loquin . 73 131 79 401 438 25 127 387

l esprit cherche et c est le coeur qui trouve